Avez-vous besoin d’incliner la balance vers une maison de soins infirmiers, une maison de soins infirmiers, les deux ou une maison de service ? Il est important de pouvoir les distinguer en fonction des attentes de nos parents…
En effet, le secteur de ces maisons spécialisées s’améliore constamment. Différentes formules sont proposées afin de répondre aux besoins et aux désirs de chaque… S’il est indéniable que ce choix entraîne un profond changement de vie et d’environnement, certaines institutions font tout ce qui est en leur pouvoir pour faciliter cette décision en offrant plus de confort avec un soin réel, en réduisant le sentiment d’incertitude et en donnant un peu de baume aux cœurs isolés d’un grand nombre de les personnes âgées… Ce qui n’est pas un luxe quand ceux que nous aimons deviennent trop dépendants ou leur santé s’aggrave.
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Maintenant, c’est à vous de déterminer si vous devez vous rendre dans une maison de soins infirmiers, une maison de retraite privée, publique, associative ou commerciale, un établissement de soins infirmiers spécialisés (par exemple, les patients atteints de la maladie d’Alzheimer), une chambre ou un appartement dans un service résidentiel ? On se perd là-bas. Commençons par rappeler que nous devons nous assurer que cette étape ne donne pas l’impression de finir ces jours quelque part, mais de mieux vivre ailleurs…
Plan de l'article
(Questions) les bonnes questions
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Si votre parent est en bonne santé et jouit encore d’une certaine indépendance (c’est-à-dire qu’il marche, s’habille et prend ses repas sans surveillance), votre choix se tournera, bien sûr, vers une maison de retraite « classique » ou un service de résidence. C’est à vous de rejoindre le déterminer les conditions nécessaires à une vie agréable, en fonction du stand (espace, environnement, jardin, possibilité d’apporter vos meubles, etc.) et des services offerts (restauration, activités, voyages, visites, etc.). Les maisons de repos (MRPA) accueillent les personnes de plus de 60 ans en offrant des services communautaires, des outils de vie quotidienne et, au besoin, en organisant des soins. Alors que les Services Résidences (RS) offrent un hébergement et des services « à la carte ». Cette formule permet de garder une vie plus indépendante bien que très surveillée (sur demande). Une autre option est la garderie (mais il y en a peu) qui permettent le même traitement que dans les maisons de soins infirmiers, mais rentrent chez eux le soir.
Pour les personnes considérées comme dépendantes, nous recommandons un foyer médical dont la structure et l’organisation permettent un suivi médical. Cependant, selon la nature de la dépendance de vos parents, choisissez des établissements qui fournissent des lits de soins infirmiers et un lit de soins sous un même toit. Cette offre est très répandue en Belgique.
Pendant une courte période (il peut s’agir, par exemple, d’une solution de soins temporaires après un accident ou une maladie), les centres de courte durée sont également axés sur la sécurité émotionnelle, psychologique et matérielle en fournissant des soins médicaux (ou non) pendant plusieurs jours ou semaines.
Dans tous les cas, nous vous conseillons d’observer attentivement les lieux lors de vos visites et n’hésitez pas à demander des précisions.
Observez :
- Le cadre et la propreté, ainsi que l’état de l’équipement
- Accessibilité (rampes, mains courantes, etc.)
- Hygiène (WC et/ou salle de bain dans toutes les pièces ?)
- Veuillez noter la présence d’espaces verts et d’installations extérieures
- Accueil et attitude du personnel envers les résidents
- La présence (ou aucun) d’appareils de sécurité et/ou de surveillance
Demandez :
- Quel est le ratio occupants/employés ?
- Quelles sont les heures de visite ?
- Quelles sont les heures du lever et du coucher du soleil ?
- Quelles activités les amoureux peuvent-ils partager avec leur bien-aimé ?
- Quels types de voyages sont prévus et autorisés ?
- Comment les outils de soins peuvent-ils être obtenus à l’interne et à l’externe ?
- Qui s’occupe de la Les repas ? Qu’est-ce qu’ils offrent dans le cas d’un régime spécial ?
- Quelles animations sont proposées et à quelle fréquence ?
- Est-il possible d’assister à des services religieux à proximité ?
- Pour les maisons médicalisées : Les aidants sont-ils approuvés ? Combien sont-ils ? Quelles sont leurs qualifications (infirmière, aidant, physiothérapeute,…) ? Assure-t-il la continuité des soins la nuit et le week-end ? L’équipe est-elle formée en soins palliatifs ? À qui s’adressent-ils en cas d’urgence gériatrique ? L’assistance est-elle fournie en cas de décès ?
Bon à savoir : Ces maisons sont de plus en plus surveillées, respectent des lois strictes et font l’objet d’un suivi régulier.
Quelles alternatives ?
Pour se rendre à pour répondre aux nouveaux besoins démographiques, une nouvelle génération d’offres a vu le jour ces dernières années en développant des concepts attrayants et novateurs pour améliorer la vie des aînés. Nous pensons, par exemple, aux maisons partagées, une sorte de colocalisation pour les aînés. Que ce soit dans les villages seniors, ces quartiers sur mesure avec maisonnettes d’un étage, jardins communs et potagers, espaces récréatifs et relaxants, ou toute une gamme de services « hôteliers » (livraison de repas, ménage, blanchisserie,…) qui offrent l’avantage de préserver l’intimité et la liberté. Enfin, si cela ne met pas en danger leur santé et leur sécurité, l’aide à domicile peut aussi toujours être utilisée lorsque les aînés refusent catégoriquement de quitter leur adresse…
Combien cela coûte-t-il ?
La réponse est en un mot, chérie. Pour avoir un cœur clair, piano sur le Internet et vous serez gâtés… mais pas beaucoup plus avancé. Les enquêtes ne manquent pas, mais elles donnent des moyennes qui servent uniquement à vérifier si le foyer de soins infirmiers pris en compte pour un membre de la famille est respecté, oui ou non. Avec cette nuance, il n’est pas interdit de sortir des rails. Le secteur privé fixe les prix qu’il veut. Le problème le plus marqué est le rapport entre les pensions mensuelles et les taux des foyers de repos. Encore une fois, les moyennes ne servent pas beaucoup : une maison de retraite coûte en moyenne 1 350 euros par mois et la pension moyenne est… du même montant. Arithmétique, nous déduisons que tout va bien. C’est clairement faux.
Un autre problème qui est régulièrement soulevé est la hausse constante des prix des maisons de soins infirmiers. Compter, au total, 3% par an. Ce n’est pas beaucoup ? Peut-être, mais après trois ans, c’est 10% ! Cependant, les pensions ont tendance à à falsifier.
Plus précisément, les prix des maisons de soins infirmiers sont si variables que l’essentiel est de vérifier si ceux qui s’écartent de la moyenne justifient cette différence. Marie V.D. paie environ 2.000 euros par mois dans une maison de retraite privée située à la périphérie de Bruxelles — ce n’est pas l’endroit le moins cher — pour une chambre d’environ 20 mètres carrés avec salle de bain privée. La maison de repos est neuve, le hall est proche de celui d’un hôtel et il dispose d’un établissement de restauration ouvert à tous. Idéal pour la facilité d’utilisation.
Après quelques mois, Marie V.D. la famille a remarqué que le projet de loi est à la hausse. C’est qu’il est nécessaire de compter avec les extras : coiffeur, pédicure, médecin, médecine… En outre, la tentation est grande de commander une petite coiffure si vous avez moralement plat, de prendre un capuccino en compagnie d’un ami, d’avoir sa bouteille de Bordeaux. Juste comme dans les hôtels, la note peut augmenter très rapidement. Mais le coiffeur et la pédicure, vous devez aussi les payer si vous vivez seul. Et dans une maison de retraite, comme ailleurs, les visites du médecin et les recettes de médicaments sont éligibles à une compensation mutuelle. En outre, les mutuelles interviennent — à des degrés divers — dans le coût des maisons de soins infirmiers. En bref, nous devons comparer ce qui est similaire. C’est-à-dire, comparez tout.
Les tarifs pour les maisons de soins infirmiers sont calculés par jour. En moyenne, ils vont de 35 à 50 euros dans les maisons de retraite gérées par le CPAS — les moins chers sont dans les provinces de Liège et Hainaut, les plus chères dans les provinces d’Anvers, Brabant et Bruxelles. Les maisons résidentielles dans le secteur privé sont plus chères, de 37 à 53 euros selon leur situation, le Luxembourg est la région la moins chère et la plus chère d’Anvers.